De la imposibilidad de olvidar el mar (2021)
(De l’impossibilité d’oublier la mer)
Ce projet est une recherche constante de la mer, laquelle est conçue comme une frontière imprécise.
Depuis mon arrivée dans les régions franco-suisses (2011), j’ai ressenti très fortement une nostalgie de la mer autour de moi, sans pourtant soupçonner ce besoin auparavant. C’est à ce moment-là que j’ai commencé cette recherche de la mer dans les vastes montagnes qui m’entourent. C’est à travers cette exploration, au fil des années, que je me rends compte que l’eau est partout même à haute altitude. L’eau est présente toujours en quelque sorte dans un de ses états ; solide, liquide ou gazeux.
De l’impossibilité d’oublier la mer est en évolution constante. Celui-ci est l’état du projet en 2021.
Photos ©Elisa Murcia Artengo. Photographies imprimées en jet d’encre sur papier « Japon Unryu ».
De la imposibilidad de olvidar el mar (2021)
(De l’impossibilité d’oublier la mer)
Ce projet est une recherche constante de la mer, laquelle est conçue comme une frontière imprécise.
Depuis mon arrivée dans les régions franco-suisses (2011), j’ai ressenti très fortement une nostalgie de la mer autour de moi, sans pourtant soupçonner ce besoin auparavant. C’est à ce moment-là que j’ai commencé cette recherche de la mer dans les vastes montagnes qui m’entourent. C’est à travers cette exploration, au fil des années, que je me rends compte que l’eau est partout même à haute altitude. L’eau est présente toujours en quelque sorte dans un de ses états ; solide, liquide ou gazeux.
De l’impossibilité d’oublier la mer est en évolution constante. Celui-ci est l’état du projet en 2021.
Photos ©Elisa Murcia Artengo. Photographies imprimées en jet d’encre sur papier « Japon Unryu ».